Curcuma Himalaya Herbals un anti cancer offert par la nature

Curcuma Himalaya Herbals un anti cancer offert par la nature

En ayurvéda( la médecine traditionnelle indienne)  ,c’est à dire la médecine ayurvédique utilise le rhizome de Curcuma longa depuis l’antiquité, notamment pour ses propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.

 

 

En médecine chinoise, le rhizome de Curcuma longa est traditionnellement utilisée pour traiter les douleurs et les tumeurs induites par le Qi[précision nécessaire] et la congestion sanguine9.

La médecine occidentale connaît, depuis au moins le XVIIe siècle, des usages au rhizome de curcuma : flatulence11, néphrétique11,22, inertie de la bile11, accouchement difficile11, aménorrhée11,21,22, scorbut11,21,22, ou encore hydropisie21,22, jaunisse21,22. En Europe, la racine de safran est d’ailleurs connue pour ses usages en médecine, alors qu’elle sert d’épice pour assaisonnement des plats dans les Indes, selon un document administratif de la ville de Paris datant de 178113.

Ainsi, au niveau mondial, l’OMS identifie certains usages traditionnels pour le Curcuma longa : traitement d’un ulcère gastro-duodénal, douleurs et inflammations dues à une arthrite rhumatoïde, aménorrhée, dysménorrhée, diarrhée, épilepsie, douleur et maladies de la peau2.

Le curcuma est reconnu dans les médecines traditionnelles indiennes et chinoises26 et en Occident pour ses propriétés antioxydantes. Il aide l’organisme à lutter contre le stress et à maintenir l’efficacité des défenses naturelles. Il est également utilisé depuis très longtemps comme anti-inflammatoire par la médecine ayurvédique indienne. C’est probablement l’anti-inflammatoire naturel le plus puissant identifié à ce jour.[réf. nécessaire]

Inhibiteur du développement de cancers

Le potentiel des propriétés du Curcuma longa dans la prévention du cancer ont été étudiées depuis 1985 avec Kuttan9,27 : les résultats de ces expériences in vitro et in vivo sur des souris ont montré une réduction du développement des tumeurs avec les extraits de curcuma et son composant actif, la curcumine.

De très nombreuses études ont été menées par la suite sur les effets inhibiteurs du curcuma et de son principe actif la curcumine sur le développement de nombreux cancers9,28,29 : côlon30, foie31, poumon32, ovaire, sein33, leucémie, prostate34,35, estomac36, pancréas37. Toutes ces études tendent également à montrer que la curcumine a un fort potentiel en tant qu’agent adjuvant en chimiothérapie9,38.

Le curcuma est identifié comme agent de chimioprévention efficace des cancers colorectaux chez les rongeurs (essais cliniques chez des volontaires en cours39).

Les premières conclusions de ces études ont conduit certains organismes (comme l’American Cancer Society) à préconiser l’utilisation du curcuma de manière préventive contre le cancer40,41,42.

Mais il peut jouer aussi un rôle dans la prévention du cancer : à âge égal, les Indiens ont huit fois moins de cancers du poumon que les Occidentaux, neuf fois moins de cancers du côlon, 5 fois moins de cancers du sein et jusqu’à dix fois moins de cancers du rein. La différence pourrait être attribuable à leur consommation élevée de curcuma, laquelle est en moyenne de 1,5 à 2 g de curcuma par jour (l’équivalent d’un quart à une demi-cuillère à café).[réf. nécessaire]

Le documentaire Notre poison quotidien de Marie-Monique Robin se termine sur une conférence sur le cancer à Bhubaneswar dans la région indienne d’Odisha, où selon Marie-Monique Robin personne n’aurait contracté de cancer hormis ceux liés au tabagisme.

Le cancer du côlon est statistiquement moins présent dans les aires où on le consomme régulièrement.[réf. nécessaire]

La turmérine, autre composant de l’épice, semble également avoir des propriétés anti-oxydantes43.

Phytothérapie

Le curcuma est utilisé en phytothérapie (dans le traitement de l’hypercholestérolémie par exemple44, ou encore en traitement alternatif pour la spondylarthrite ankylosante).

L’European Medicines Agency a identifié le Curcuma longa comme une plante pouvant être utilisé en tisane pour soulager les digestions difficiles45.

Le jus de curcuma obtenu à partir des rhizomes frais, conserve les phytonutriments fixes (curcumine, turmérine…) et volatils (l’huile essentielle présente dans le jus de curcuma frais semble favoriser la biodisponibilité des curcumines dans l’organisme). Depuis des siècles, l’utilisation traditionnelle du curcuma frais en Asie du Sud-Est, lieu à l’origine de la découverte des bienfaits du curcuma, n’a jamais fait l’objet de la consommation d’une seule molécule isolée (curcumine) mais de tout le rhizome.[réf. nécessaire]

Autres effets notables

Le curcuma est considéré comme un alicament naturel. Son activité thérapeutique est décuplée en présence de poivre (pipérine), sa biodisponibilité étant ainsi augmentée46.

Les effets du curcuma sont étudiés dans son rôle protecteur contre la maladie d’Alzheimer1,47, contre le Diabète de type 248,49 et d’autres troubles cliniques50,51. En effet, la curcumine pourrait également aider à stimuler les cellules du système immunitaire qui engloutissent les protéines du cerveau qui marquent la maladie d’Alzheimer52.

Le curcuma pourrait améliorer la mémoire des personnes présentant un risque de déficience cognitive lié au diabète53.

Son efficacité dans les syndromes dépressifs majeurs n’est pas démontrée54.

Le curcuma est utilisé comme médicament traditionnel pour le traitement des maladies de peaux, en particulier en Inde et à l’île Maurice dans le traitement de la gale.